Article 3/3 contre la bankocratie et le mensonge de la Plandémie
Critique et Démarcation
Par Silvia Almería
Comment se fait-il que les organisations qui se disent prolétariennes, internationalistes, révolutionnaires, anarchistes, communistes... aient été les plus molles et les plus soumises en acceptant le MENSONGE DU POUVOIR sur la pandémie et les virus ?
Pourquoi aucune de ces organisations "anticapitalistes" ne dénonce le plan délibéré (et à peine caché) d’imposer un Nouvel Ordre Mondial d’asservissement généralisé de l’espèce humaine, par le biais de puces, de vaccins, de masques, d’enfermement... ?
Pourquoi, aucune d’entre elles ne dénonce que le taux d’exploitation mondial (et le taux de profit) augmente, avec l’émission de FAUX argent par les banques centrales, bien qu’elles continuent à fermer les "sources de travail" et à créer la faim par poignées ?
Comment est-il possible que, alors que le pouvoir continue à éliminer l’économie, le mode de production capitaliste, les relations de production et les forces productives, à préserver le capital mondial et à continuer à l’étendre sur la base de l’émission d’argent, ces groupes, soumis au mythe du "mode de production", continuent à dire que le pouvoir veut qu’il y ait plus de travail et plus de production de biens et de services ?
Comment se peut-il que ces organisations "anticapitalistes" soient tellement infectées par le léninisme et le stalinisme qu’aucune d’entre elles ne voit dans l’esclavage actuel, auquel on soumet l’humanité, sous le prétexte PANDEMIQUE, le parallélisme évident avec les camps de concentration fondés en Russie par les bolcheviks, comme un projet "socialiste", pourtant dénoncé dans les réseaux ?
Le nouvel ordre pandémique et vacinal, en plein développement et mise en œuvre, maintenant en juillet 2020, n’est-il pas la perfection machiavélique de l’ordre bolchévique, fondé avec les banquiers de Wall Street à partir de 1918 ?
Les "anticapitalistes" de la valeur-travail, qui ne cessent de dire que le mode de production capitaliste cherche à produire toujours plus... ne voient-ils pas ce qui se passe, ou font-ils une sorte de "critique de sa majesté" aux inventeurs de pandémies...
Ou, encore plus foireux : ils les couvrent, comme le fait la gauche accusant la droite, et la droite accusant la gauche ; avant de rire ensemble (dans l’ombre du pouvoir), du spectacle ridicule créé, ainsi que des marionnettes et des sujets qu’ils manipulent.
Ce qui est clair, c’est qu’ils nient tous le COMPLOT RÉEL DU POUVOIR DE L’ARGENT, qui se cache derrière les gouvernements, les scientifiques, les politiciens et les médias internationaux.
Comment se peut-il qu’aucun de ces groupes qui prétendent partir de l’"anticapitalisme" et de la "logique du capital" n’ait remis en question l’INVENTION de la PANDEMIE..., comme le font tout défenseur de la médecine naturelle, tout défenseur de la vie, tout marginal de la rue et même les "Médecins pour la Vérité" ?
Si ce n’était pas parce que le "marxisme-léninisme" fait aussi partie de cette même religion d’État (du travail, de la science, du progrès), au moins certains dénonceraient la vérité et diraient, au moins, que toutes les informations qui sont reproduites dans le monde entier sur la "crise sanitaire" sont complètement fausses, qu’elles ne prouvent aucune pandémie, ni que le supposé virus de cette année tue plus que n’importe quelle grippe.
Ou bien n’ont-ils pas encore avalé que cette critique du "mode de production capitaliste" qui réduit tout à la production et à la consommation "excessive" de choses comme Greta Thunberg, est celle que le même club des puissants comme Soros, Kissinger, Gates/Melinda, Macron ou Suarez tente d’imposer, pour couvrir leurs propres génocides pandémiques ?
L’accusation selon laquelle "la pandémie est le capital" ou que "le capital est la cause de la pandémie", au lieu de révéler et de dénoncer les coupables, dilue tout dans une fatalité objective comme s’il s’agissait d’une calamité naturelle.
Comme si le désastre social et humain était causé, non pas par les véritables rapports sociaux d’exploitation (comme l’argent) et ses agents, par le pouvoir organisé du capital (l’État profond et la ploutocratie réelle), mais par un ennemi mystérieux et sinistre !
Toute pensée religieuse utilise la peur d’un ennemi secret et très mauvais... pour imposer quoi que ce soit !
Le secret de l’ennemi est la clé de la domination et de l’oppression, comme il l’était pour l’Inquisition ou le stalinisme. Comme personne ne sait grand-chose de l’ennemi, les spécialistes peuvent le modeler selon les besoins mêmes de la soumission et du contrôle des populations.
Les prêtres inquisiteurs façonnaient le diable, en fonction de la terreur qu’il inspirait, afin d’imposer la soumission. Exactement comme les virologues et les spécialistes de l’OMS et de la militarisation sociale, ils façonnent le virus selon les besoins de l’enfermement et de la domestication.
Selon le visage du client, selon ce qui peut produire plus de peur... et en élevant, toujours très haut la menace suprême, "il est contagieux", "il est possédé par le diable/virus". Ce qui est absolument certain, c’est que les preuves "scientifiques" de cette "possession" par le diable ne se sont guère améliorées.
Il y a encore un siècle, en France et aux États-Unis, des personnes étaient condamnées à l’ablation du clitoris et à la mort... parce qu’il était "scientifiquement prouvé", par la taille excessive du clitoris, que cette personne était une "sorcière possédée par le diable" ! Elle devait être enfermée et même brûlée !
Aujourd’hui, vous êtes condamné à l’enfermement, au port d’un masque, à l’éloignement social et parfois au tubage, pour un test bien moins réel que la taille du clitoris mesurée "objectivement" par les scientifiques d’État de l’époque ! Combien de personnes ont été tuées et sont tuées, par ce sinistre procédé, par les scientifiques d’hier et d’aujourd’hui ?
En tout cas, la grande prouesse de la "science" médicale est d’appliquer aussi le protocole tueur du masque, de l´éloignement, de la déshumanisation à l’extrême, à ceux qui sont en bonne santé, à ceux qui ne parviennent même pas à tomber malade avec "leur virus"... comme les enfants, les bébés, les tout petits.
Pourquoi ne condamnent-ils pas le véritable esclavage (militarisation, répression, masque, éloignement, enfermement, contrôle...) qu’ils dissimulent sous le prétexte de la pandémie, au lieu de continuer à accuser le capitalisme en général de la pandémie en excusant de manière sanitaire les vrais coupables ?
Il semble peu crédible que ce qui est déjà remis en cause par les prolétaires du monde entier, qui peu à peu, et tant bien que mal, rejettent... les mensonges du pouvoir [1], des médias, des gouvernements, des politiciens et des syndicats... soit présenté, sans aucune critique, par cette société anonyme de "marxistes" et de "libertaires" de toute la planète, qui ne font que fulminer contre "le capitalisme en général" et le "mode de production capitaliste" [2] ! Sans même dénoncer le véritable esclavage auquel nous sommes condamnés aujourd’hui !
Il n’est pas exagéré de dire que, outre les puissants de ce monde, ceux qui croient le plus à la religion pandémique et au jeu de "fakes" des "scientifiques" payés pour nous mentir, sont précisément ces "prolétaires" qui dénoncent la faute du "capitalisme", sans même se demander si les données pandémiques sont vraies, si l’existence du virus Corona est prouvée, ou la validité des tests PCR.
Ils s’interrogent moins que le parlement italien qui reconnaît que "96 % des personnes tuées par la pandémie sont mortes d’une autre cause et non du coronavirus !”
Ils ne remettent même pas en cause la pandémie à la manière de Bolsonaro, Trump, Ortega, Maduro... !, à contrecœur et en fulminant contre la corruption de l’OMS et de la médecine en général, mais ils sont plus croyants que le pape !
Bref, ils ne sont même pas à la hauteur des bottes du ministère de la Santé biélorusse qui a officiellement reconnu que le COVID 19 n’est pas une " maladie infectieuse... " et qu’il s’agit d’une maladie mentale, provoquée par la panique créée par les médias de propagande internationaux [3].
Pour les "anticapitalistes" de pacotille, le "virus" existe et "la pandémie est une preuve scientifique avérée". Le dogme religieux est tout. Un peu comme le diable et l’enfer l’étaient pour les prêtres au Moyen Âge... sans même se demander s’il n’est pas exagéré de dire qu’"il y a une pandémie", sans que personne n’ait pu établir quoi que ce soit de qualitatif et de quantitatif dans ce sens, ni qu’un virus puisse être responsable de tant de spectacle de mort.
N’est-ce pas de la pure superstition, ou bien existe-t-il dans l’histoire de l’humanité un système de santé naturel qui soutienne le postulat selon lequel les "virus" sont la cause des maladies ? N’est-ce pas que de telles superstitions absurdes ne sont que le patrimoine du taux de profit du capital ?
Si la vente de vaccins n’était pas un commerce si lucratif, qui, grâce à la médication des bien-portants, au risque et au danger des vaccinés eux-mêmes... serait-il encore si religieusement admis, l’histoire ridicule sans aucun élément pour la soutenir, qu’il y aurait des virus "vraiment contagieux" qui pourraient nuire à un corps sain ?
Il n’existe aucune preuve clinique ou historique qu’un virus puisse pénétrer dans un corps sain et lui nuire. Et encore moins devenir contagieux. Ces deux hypothèses ne sont soutenues par aucune forme de santé ancestrale et holistique historique en Chine, en Inde... ou dans toute communauté indigène... il s’agit plutôt d’une superstition religieuse, sans autre fondement, que l’idéologie identifiée comme "scientifique", pour la rentabilité qu’elle procure à l’industrie chimique. Pasteur et ses croyances ont reçu la caution "scientifique", sans aucune preuve, si ce n’est le profit capitaliste de médicaliser tout le monde comme potentiellement malade.
Voilà le véritable critère de vérité de la science médicale, être au service de la maximisation du profit !
Bien sûr, cette vérité doit être dénoncée : tout ce qu’ils appellent science est une superstition absurde qui prouve sa capacité à augmenter les profits.
C’est ce que doit crier le prolétariat en lutte contre les pandémistes ! C’est la vérité que nous devons affronter.
Ce n’est que de cette manière que le prolétariat international se démarquera du dogmatisme judéo-chrétien et marxiste (dont le dogme est précisément les déterminants objectifs du capitalisme pour produire des pandémies) et que nous pourrons sortir violemment de tant d’enfermement !
Ce n’est qu’ainsi que nous briserons cette destruction de toute communauté de lutte et de vie qui se poursuit par le masque, l’éloignement, l’enfermement... !
Nous devons aussi être clairs à ce sujet, il n’y a pas d’autre espoir : seule une sortie explosive et une rupture concrète de l’enfermement et de l’esclavage croissant qu’ils appellent "nouvelle normalité", peut nous sortir de cette putréfaction de l’humanité, de plus en plus asservissante.
Ce n’est qu’en brisant cette normalisation de l’esclavage pandémique que nous pourrons lutter pour une révolution sociale !
Or, ce dogmatisme religieux aussi judéo-chrétien que pasteurien qui, sous la dictature du taux de profit capitaliste, a imposé la croyance en des virus maléfiques comme le diable et en de terribles pandémies comme l’enfer, va de pair avec la mythologie marxiste-léniniste fondée par l’État russe qui consacre le travail (c’est-à-dire la torture !) comme seule valeur et réalisation de soi de l’être humain. La vérité est qu’il s’agit de la configuration idéologique la plus brutale de tous les temps... où chaque tourelle fondatrice est complétée et fortifiée pour DRESSER au-dessus de tout, un seul Dieu... le seul, le vrai... L’ARGENT.
La racine judéo-chrétienne des virus et des démons, des pandémies et des contagions, sont les véritables fondements idéologiques de la subsomption au capital, ils constituent la clé historique de l’alliance du pouvoir bancocratique et pandémique actuel. A cet égard, la contribution du "marxisme-léninisme" ne doit pas être sous-estimée tant dans l’apologie de l’ensemble du dogme scientifique médical pasteurien que dans celle de l’économie politique marxiste de la valeur travail et de l’organisation du travail dans les camps de concentration dits staliniens fondés en réalité par Lénine et Trotsky.
C’est pourquoi, dans la lutte contre l’esclavage actuel, sans phrase, auquel l’humanité est soumise, la dénonciation et la démarcation contre la fausse critique du capitalisme en général, est si essentielle. Sans une telle démarcation, l’asservissement de l’ensemble de la race humaine continuera au rythme triomphant qu’il a connu jusqu’à présent.
1] Ce n’est pas par hasard que je voudrais que cette déclaration soit interprétée comme une apologie de la résistance prolétarienne au mensonge de la pandémie qu’il y a eu jusqu’à présent, car à vrai dire ce rejet est encore trop isolé, timoré, pauvre... et il n’est pas encore crié avec une force combative... que la pandémie est un MENSONGE.
2] Dans les assemblées des "gilets jaunes" (un mouvement devenu fort dans plus de 50 pays), on dénonce souvent cet intérêt manipulateur et militaire à neutraliser la critique réelle du mouvement à l’égard de la bancocratie internationale imposant le Nouvel Ordre Mondial... pour la dissoudre dans une critique du "mode de production capitaliste" en général, prôné par le même gouvernement mondial des banquiers. Elle cherche non seulement à cacher le véritable esclavage imposé par la valeur à la vie humaine et les objectifs de la tyrannie de la monnaie fiduciaire, mais aussi à détourner toute la critique sociale vers une question de surpopulation, d’"excès" de production et de consommation, et finalement vers un problème écologique, où les Bilderberg et Macron lui-même sont les champions absolus de la "lutte contre le réchauffement climatique."
3] Nous reproduisons ci-dessous la nouvelle telle qu’elle a circulé dans les médias, même si nous savons que les fabricants idéologiques de la pandémie la mettront sur le compte de "l’extrême droite" : la Biélorussie reconnaît que le virus est MENTAL !
Le ministère de la santé biélorusse a officiellement reconnu le COVID-19 comme une maladie mentale. Dans le cadre d’un panel élargi consacré à la lutte contre la propagation d’une nouvelle infection à coronavirus dans le pays, le ministère de la Santé du Bélarus a apporté des modifications à la norme médicale nationale. La principale innovation a été l’élargissement du nombre de maladies mentales, dont la catégorie a été complétée par COVID-19. Dans le même temps, le COVID-19 a été exclu de la catégorie des maladies infectieuses.