CONTRE L’ESCLAVAGE ET LA FAUSSE CRITIQUE DU CAPITALISME EN GÉNÉRAL (II)

Article 2/3 contre la bankocratie et le mensonge de la Plandémie

Article mis en ligne le 12 août 2020
dernière modification le 14 septembre 2022

par Silvia Almeria

Par Silvia Almería

Une contre-position décisive et claire
Le scénario immonde et artificiel des pandémies, ainsi que la terreur qu’il instille, déploie des chiffres et des fausses nouvelles, systèmes complexes de mensonges qu’il mêle volontiers aux superstitions et aux mythes scientifiques/populaires, pour que tout reste dans la "même boue" comme un racket de taudis, où l’on ne peut pas arracher un seul clou qui serve à quelque chose... Sans doute est-ce pour cela que les gens regardent de moins en moins la télévision et écoutent de moins en moins la radio, même si cela conduit souvent à encore plus de désinformation, d’isolement, d’individualisme et de folie.

Cependant, les choses ne sont pas aussi compliquées qu’on voudrait nous le faire croire. Le contraste, entre ceux qui veulent nous faire accepter le nouvel esclavage, l’enfermement et le couvre-bouche, et ceux d’entre nous qui s’y opposent radicalement, est clair et net. Les premiers ne parlent que de virus, de morts, de pandémies et de prétextes idéologiques/sanitaires, même s’ils se plaignent de la gestion de la crise et blâment le capitalisme en général. Ceux d’entre nous qui s’opposent radicalement à l’idéologie du pouvoir dénoncent la plus grande attaque de l’histoire de l’humanité, le pouvoir de l’État esclavagiste mondial contre les humains.

Et comme nous savons aussi que les mensonges des gouvernants ne sont pas du tout fondés sur le souci de la santé des gens, nous savons que toute cette crise sanitaire n’est qu’un mensonge. Ça simplifie les choses ! C’est la première chose que nous, internationalistes prolétariens, devons affirmer lorsque nous parlons de cette question.

La social-démocratie, le syndicalisme, la gauche bourgeoise... ne partent pas de L’ATTAQUE BRUTALE CONTRE L’HUMANITÉ, que l’Etat mondial mène, sous le prétexte de la pandémie. Au contraire, la social-démocratie tente de le nier par tous les moyens, allant jusqu’à accuser ceux qui le dénoncent de "théoriciens du complot" (et/ou au service de l’extrême droite (1)).

Elle le dissimule plutôt, comme si tout était dû aux contradictions du capitalisme qui provoqueraient virus, contagions et pandémies... Le "capitalisme", au lieu de servir à dénoncer le véritable complot esclavagiste, sert de prétexte à la propagande du caractère involontaire et tragique de la "pandémie".

En d’autres termes, la social-démocratie nie le caractère exceptionnel de l’attaque, ainsi que le caractère volontaire et conscient de l’attaque. Elle nie qu’il s’agit d’une attaque esclavagiste du pouvoir, parce qu’elle croit simplement plus en ce que le pouvoir lui-même dit... comme si la pandémie était une "fatalité malheureuse causée par le mode de production capitaliste". Comme si l’État mondial n’était pas machiavélique, comme si le vrai machiavélisme, de la part du pouvoir de l’État mondial, était une histoire inventée par des imbéciles ! [2]

Pour les social-démocrates, le conspirateur n’est pas l’élite financière qui dirige le monde, ni le gouvernement des banquiers internationaux organisé en sectes, mais ceux qui le dénoncent !

Cela revient à dénoncer l’esclave noir comme responsable de l’esclavage !

Ce ne sont pas Soros, Bill Gates et la bancocratie qui conspirent, en émettant de plus en plus d’argent au même rythme qu’ils désindustrialisent et détruisent les forces productives, pour augmenter encore la plus-value mondiale qu’ils s’approprient. Ce ne sont pas les chefs d’État de la même élite qui dirigent les gouvernements, les services secrets et les hordes répressives de l’ordre mondial qui conspirent, mais les "pieds sur terre" qui ( !) osent imaginer ( !) que ceux qui nous pissent dessus et nous matraquent, la bouche couverte baillonnés et en quarantaine, se réunissent entre eux pour planifier l’attaque menée simultanément dans le monde entier.

Pensent-ils que les médias et les gouvernements fonctionnent de manière si univoque par leur propre inspiration et grâce au saint esprit !

Le pandémonium est si bien monté et protégé par les médias que le pouvoir en serait le très saint protecteur et les "conspirateurs" les pauvres chats, les "noirs" qui, de plus, sont "contagieux" !

Cette inversion du sujet du complot, afin d’inoculer le pouvoir, est typique des médias grand public, qui considèrent le virus et la pandémie comme des "réalités" scientifiques objectives du capitalisme, et même la destruction délibérée des relations sociales et des forces productives du mode de production comme un produit inévitable de la crise économique et sanitaire ! Les contradictions "objectives" du capitalisme le feraient toujours foirer, sans que personne ne prépare quoi que ce soit pour détruire la vie et la production de moyens de subsistance, comme si l’élite bancaire n’imposait pas sa bancarisation à chaque usine qui disparaît ou à chaque emploi informel qui est supprimé !

Objectiver la pandémie et la crise économique, comme s’il s’agissait de "réalités indiscutables", sur la base desquelles tout comportement social peut être expliqué, est typique du pandémonisme dominant, non seulement de la bourgeoisie au pouvoir (comme Podemos en Espagne ou les "démocrates" yankees) et des syndicats, mais aussi des groupes qui se prétendent marxistes, léninistes, trotskistes, "anarchistes", "communistes"...
Bien avant Jésus-Christ, les dominateurs et les manipulateurs, les conspirateurs de la politique et de l’État savaient que "l’art suprême de la guerre est de soumettre l’ennemi sans combat". [3] C’est le principal service de ceux qui se disent "prolétaires" et "révolutionnaires" et qui propagent infâmement la pandémie comme une conséquence objective du capitalisme.

C’est pourquoi ce mensonge de la pandémie doit être dénoncé dès le départ comme une INVENTION ESCLAVAGISTE, une invention pour imposer plus d’esclavage, plus de soumission de l’humain à la bancocratie mondiale ! Exactement le contraire de ceux qui dénoncent la pandémie comme un produit purement automatique du capitalisme !

A vrai dire, ces "radicaux" de l’objectivisme et du matérialisme vulgaire n’ont jamais compris la volonté délibérée de la puissance d’argent d’imposer l’immobilisme productif et la désindustrialisation comme un reset indispensable à la construction du Nouvel Ordre Mondial. Pire, ils n’ont même pas compris qu’il s’agit d’une attaque délibérée du pouvoir pour asservir davantage les êtres humains à la monnaie fiduciaire et aux intérêts mondiaux des banques.

En se basant sur la théorie bourgeoise de la valeur du travail, ils ne peuvent pas expliquer que, au niveau mondial, la valeur, le capital mondial, puisse continuer à croître malgré le fait qu’il y ait de moins en moins de production matérielle et de moins en moins de travail employé dans la production de biens et de services. Ils comprennent donc encore moins que, depuis le centre du pouvoir ploutocratique mondial, ils imposent davantage d’enfermement et de quarantaine, davantage de liquidation du mode de production immédiat du capital, au profit du pouvoir du capital-argent et de la bancarisation.

Pour conclure cet article, je veux donner 3 exemples de cette vulgaire tendance objectiviste et matérialiste, dont nous, internationalistes prolétariens, nous sommes démarqués dans la pratique.

1) Voici ce que "Raison et Révolution" dit de la lutte contre l’anti-confinement et la quarantaine :

"Il est vrai que le mouvement a un programme de droite... Il ne suffit pas pour les petites entreprises que l’État couvre une partie de leurs dépenses avec des subventions. Il ne suffit pas non plus qu’ils assouplissent un peu la quarantaine. Si la circulation n’est pas entièrement rétablie, les ventes resteront à des niveaux très bas et de nombreux magasins feront inévitablement faillite. La proposition consiste à lever la quarantaine. Et cette issue, alors que les contagions se multiplient et que nous approchons du pic de la pandémie, serait de condamner l’ensemble de la classe ouvrière à être infectée...".

https://razonyrevolucion.org/los-anti-cuarentena-burguesia-y-pequeno-burguesia-frente-al-covid-19/

Conformément à cette explication, “Razón y Revolución” se range du côté du pouvoir, pour collaborer à la gestion de la misère et insultent de "fascistes" ceux qui appellent à rompre avec l’enfermement asservissant et le bâillonnement des bouches.

"Ils nous envoient à la mort pour sauver leur petit capital. Mais ce n’est pas la seule alternative possible. Nous ne pouvons pas laisser ceux qui, face à des problèmes tout à fait similaires, en 2001, se sont alliés au mouvement piquetero au cri de "laissez-les tous partir", devenir aujourd’hui la base du fascisme. Leur demande est légitime, la propagation de la crise menace leurs moyens de subsistance, mais la solution ne peut consister à lever la quarantaine alors que les contagions se propagent. L’introduction d’une véritable subvention pour les chômeurs, égale au panier alimentaire de base, qui serait étendue aux personnes à revenu unique, aux "indépendants", aux professionnels et aux petites entreprises dont l’activité a été affectée par la quarantaine, serait une véritable solution au problème, qui préserverait la santé et la vie de tous". (idem)

2) C’est la vision du groupe chinois Chuang, devenue virale, dans le centrisme social-démocrate international, qui recourt à tout pour cacher le caractère esclavagiste, planifié et volontaire de la fausse pandémie et pour réduire l’attaque à un simple problème sanitaire provoqué par le capitalisme.

Comme toute la gauche occidentale bourgeoise et chrétienne, comme tout le marxisme-léninisme !

"Le virus à l’origine de l’épidémie actuelle (SRAS-CoV-2), comme son prédécesseur, le SRAS-CoV de 2003, ainsi que la grippe aviaire et la grippe porcine qui l’ont précédé, est né au carrefour de l’économie et de l’épidémiologie. Ce n’est pas une coïncidence si tant de ces virus portent le nom d’animaux : la propagation de nouvelles maladies à la population humaine est presque toujours le produit de ce que l’on appelle le transfert zoonotique, qui est une façon technique de dire que ces infections passent des animaux aux humains. Ce passage d’une espèce à l’autre est conditionné par des éléments tels que la proximité et la régularité des contacts, qui construisent l’environnement dans lequel la maladie est forcée d’évoluer. Lorsque cette interface homme-animal change, les conditions dans lesquelles évoluent ces maladies changent également. Derrière ces quatre fourneaux se cache donc un fourneau plus fondamental qui fait vivre les centres industriels du monde : la cocotte-minute évolutive de l’agriculture et de l’urbanisation capitaliste.
Il s’agit là du moyen idéal pour que des parasites de plus en plus dévastateurs naissent, se transforment, fassent des bonds zoonotiques, puis se propagent agressivement dans la population humaine. À cela s’ajoutent des processus tout aussi intenses qui se déroulent en marge de l’économie, où des personnes poussées à des incursions agro-économiques toujours plus importantes dans les écosystèmes locaux rencontrent des souches "sauvages". Le coronavirus le plus récent, par ses origines "sauvages" et sa propagation soudaine dans un noyau fortement industrialisé et urbanisé de l’économie mondiale, représente les deux dimensions de notre nouvelle ère de fléaux politico-économiques." https://artilleriainmanente.noblogs.org/?p=1334

3) Pour conclure l’exemplification, nous présentons ce que disent les membres du groupe Barbaria, qui est emblématique en acceptant la totalité de l’invention bourgeoise de la pandémie, comme le monde accepte les dollars et les euros fabriqués par la bancocratie mondiale. Enfermés dans la logique du capital (en tant que mode de production immédiat) et de l’économie nationale, ils attribuent au pouvoir politique une politique totalement contraire à celle qu’ils mènent réellement. Au lieu de dénoncer le montage machiavélique du gigantesque spectacle PANDEMIQUE, sans aucune base sanitaire, ils inversent tout et dénoncent que les gouvernements ont "banalisé le virus"...et collaborent ouvertement à la panique créée par la bancocratie mondiale.

" Le coronavirus n’invente rien, c’est une pandémie provoquée par la logique du capital, qui accélère à son tour la crise systémique du capitalisme... Ce qui inquiète tous les gouvernements, c’est la santé de l’économie nationale et non celle de la population ". C’est pourquoi, au début, ils ont tous banalisé le virus, dit qu’en avril tout le monde l’aurait oublié, insisté sur la poursuite de la vie normale : celle de la production et de la circulation du marché, de l’emploi et de la consommation, des manifestations comme 8M ou des événements footballistiques." http://barbaria.net/2020/03/29/covid-19-homicidio-del-capital/

En réalité, ils croient tellement au mode de production immédiat du capital et à la valeur du travail qu’ils appellent la "vie normale", celle de la production et de la circulation marchandes, du travail et de la consommation, des manifestations comme 8M ou des événements footballistiques.

Ils ne peuvent pas comprendre que la véritable logique du capital n’est pas la logique du capital productif (de biens et de services) mais celle du capital monétaire, du capital lui-même, du capital en tant que totalité globale. Subsumés dans la logique du travail-valeur de l’économie politique, ils assimilent la logique du capital à celle de chaque capital individuel, qui cherche toujours plus de production et plus de travail, parce que le travail est présenté à l’individu bourgeois comme la véritable source de la valeur (fétichisme : il voit la chose comme la seule expression de dieu, c’est-à-dire de l’argent, de la valeur).

La logique du capital mondial est celle de la ploutocratie mondiale, dont le profit ne provient pas d’une quelconque plus-value industrielle, commerciale ou "productive", mais d’une plus-value bancaire et fiscale.

C’est pourquoi, au lieu d’augmenter la production et le travail, ils détruisent la production et le travail des choses dans le monde entier ! Au lieu de se remplir les poches avec l’exploitation immédiate du travail salarié, ils continuent à s’enrichir avec l’émission de dettes, avec la production de billets de banque qu’ils imposent à la circulation du monde entier !

Cette imposition de l’argent créé à partir de rien et la bancarisation qui en découle est ce qui augmente le taux d’exploitation mondial, même s’ils continuent à réduire le travail et la production des choses ! Cette activité bancaire de production d’argent à partir de rien (de " fausse monnaie " comme Marx aimait à l’appeler), est la seule qui ne nécessite pas le saut de la marchandise pour être confirmée ou niée comme valeur : l’argent contrefait par les banques centrales est directement valeur. C’est de l’argent fiduciaire, garanti par le terrorisme d’État mondial affirmé aujourd’hui par l’enfermement et le bouchage des bouches. C’est le véritable fondement de la nouvelle normalité de l’asservissement et de la bancarisation.

De plus, seule la destruction périodique assure le cycle de reproduction élargie du capital mondial, c’est pourquoi la guerre contre l’humanité imposée par la bancocratie à travers le MENSONGE DE LA PANDEMIE est un pur business.

En bref, cette phrase apparemment radicale (“il s’agit d’une pandémie causée par la logique du capital, et qui à son tour accélère la crise systémique du capitalisme...”), contient en réalité tous les mensonges et prétextes de l’État pour imposer le Nouvel Ordre Mondial.

La pandémie n’existe pas et ce sont les gouvernements qui parlent de la "logique du capital" pour justifier qu’ils ne peuvent rien faire, qu’ils sont obligés de prendre des mesures de "quarantaine". L’invention de la pandémie est au contraire la décision de l’État caché qui, depuis l’ombre, cherche un nouvel ordre mondial de tyrannie et d’esclavage dans lequel l’augmentation de la plus-value mondiale peut se poursuivre à un rythme soutenu tant que la production matérielle mondiale pour les êtres humains continue à être diminuée et détruite.

Et si cela ne suffisait pas, le prétexte du PANDEMIC, loin d’accélérer la crise systémique du capitalisme, sert à purger le capitalisme mondial, la destruction des moyens de production et des forces productives sur toute la planète sous le prétexte du PANDEMIC, est la politique même du capital pour surmonter la crise systémique du capital. Ce n’est pas la crise, mais la guerre de destruction nécessaire pour sortir de la crise. Parce que la bankocratie mondiale sait très bien que la seule façon de sortir de la crise est de détruire la production matérielle.

Précisément, si le prolétariat mondial ne parvient pas à contrecarrer la lutte contre l’esclavage sous prétexte de PANDEMIE et à détruire la mise en œuvre de la "nouvelle normalité", le capitalisme réaliserait une nouvelle vague de reconstitution (encore plus bancarisée que les phases précédentes) et une nouvelle expansion capitaliste qui laisserait la crise derrière elle. C’est le meilleur horizon de nos ennemis historiques, c’est l’horizon d’esclave auquel ils cherchent à nous soumettre avec la pandémie et la nouvelle normalité.

Nous voyons donc comment cette accusation du capitalisme de produire "objectivement" des pandémies, loin de clarifier les champs, sert au pouvoir de prétexte pour continuer à détruire des emplois et des moyens de subsistance. En plus de créer la confusion dont le pouvoir a besoin pour continuer à asservir les humains et à détruire les produits nécessaires, ces groupes marxistes, léninistes, staliniens... cachent les vrais coupables de la situation comme si personne n’était coupable de tant de mensonges.

Dans les notes suivantes, nous tenterons d’illustrer les théories, les idéologies et les mécanismes par lesquels, ces organisations qui se disent prolétariennes, internationalistes, révolutionnaires, anarchistes, communistes... sont les plus hargneuses et soumises à accepter les MENSONGES DU POUVOIR.

[1] Voir : LETTRE DE PETON ET RÉPONSE DES PROLETARIENS INTERNATIONALISTES :
https://e.pcloud.link/publink/show?code=XZEWSZU1Y8GJrBn6jRzNmPOeumAYLSHJUV

[2- Précisons que (dénonçant au passage la pensée marxiste du Bilderberg lui-même), Machiavel n’est pas une invention d’un anarchiste fou et paranoïaque qui pullule de manière incontrôlée sur les réseaux sociaux, mais un Seigneur, en fait, qui a réellement existé historiquement du côté du pouvoir : Théoricien de l’art de la domination, son livre "Le Prince" reste le livre de chevet de tous les tyrans et inventeurs de pandémies, ainsi que la littérature obligatoire pour les chefs militaires et les spécialistes de la contre-insurrection internationale.

[3] Voir "L’art de la guerre" de Sun Tzu, écrit il y a 2500 ans !