CONTRE L’ESCLAVAGE ET LA FAUSSE CRITIQUE DU CAPITALISME EN GÉNÉRAL (I)

Article 1/3 contre la bankocratie et le mensonge de la Plandémie.

Article mis en ligne le 2 août 2020
dernière modification le 14 septembre 2022

par Silvia Almeria

CONTRE L’ESCLAVAGE ET LA FAUSSE CRITIQUE DU CAPITALISME EN GÉNÉRAL (I)

Par Silvia Almería

Quand, au début de 2020, la bankocratie mondiale a lancé la plus grande attaque contre l’humanité de tous les temps, en construisant le système de terreur généralisée qu’ils ont appelé "pandémie", en inventant des virus et des remèdes, des diables et des dieux, des chiffres de contagion et de mortalité, des émissions de télévision sinistres et des fake news, de fausses justifications pour emprisonner, réprimer et couvrir la bouche de milliards de personnes, nous avons été très peu nombreux à dénoncer, à contre-courant, cet emprisonnement généralisé de la vie humaine pour sa véritable signification : l’attaque n’a rien à voir avec une quelconque pandémie, mais constitue une attaque systématique, délibérée et consciente de la bancocratie mondiale contre les êtres humains, afin d’asservir l’humanité et de détruire ce qui est humain.

Nous avons fait comprendre, dès le premier jour de l’enfermement et du bâillonnement des bouches, que, contrairement à ce que tous les médias disaient, il ne s’agissait pas seulement de mesures conjoncturelles pour enfermer des êtres humains pendant une période et les priver de communication, de contact, de parole et de respiration libre, mais effectivement d’imposer un NOUVEL ORDRE MONDIAL, comme les prolétaires en lutte l’avaient dénoncé durant l’année 2018/2019 principalement les gilets jaunes [1], conçu dans les moindres détails depuis des décennies par l’élite financière mondiale. Que la destruction mondiale de l’économie réelle, des relations de production et des forces productives des valeurs d’usage humaines, la décroissance économique, la destruction de milliards d’emplois comme formes élémentaires de survie, la FINANCIALISATION universelle, ne sont pas dues à une quelconque "crise du capitalisme" comme le disent les pouvoirs en place, mais sont une partie fondamentale de l’imposition de ce nouvel ordre ploutocratique.

C’est pourquoi, dès les premiers instants de l’ère pandémique, nous avons utilisé l’expression "enfermement de l’humanité" et souligné que ce que la ploutocratie mondiale tente de faire, c’est de nous "enfermer", non seulement maintenant, mais pour toujours.

Nous précisions, dès le départ, qu’aucune des "mesures d’éloignement" (et/ou des soi-disant "barrières sanitaires") n’a de raison sanitaire, mais qu’il s’agit directement de mesures de guerre contre l’humanité, puisqu’elles visent à domestiquer, opprimer, asservir, l’humain. Génocide et bancarisation, fermeture définitive des activités non contrôlées et non bancarisées, réduction de la plus-value industrielle au profit de la plus-value bancaire, vont de pair. Tous en faveur de la production d’argent (faux et illimité) par les banques, tous contre la vie humaine et la production de moyens de subsistance.

Simultanément, dans les différentes expressions de notre lutte (tracts, actions de rue, manifestations, blogs...) nous dénonçons chacune des mesures de la dictature sanitaire en tant que telles, prétendument contre le "virus", tout en rappelant qu’elles empoisonnent, intoxiquent et détruisent l’immunologie et la santé des êtres humains.

Ce qui tue et rend malade, ce ne sont pas les virus mais l’intoxication, l’environnement pollué, le manque d’air, d’eau et de sol propres... et absolument toutes les mesures préconisées par la tyrannie médico-scientifique centralisée par l’État profond (le gouvernement de l’ombre de la bankocratie mondiale, qui a l’OMS comme représentant public).

Si historiquement ce qui détruit la santé est la toxicité des rapports sociaux d’oppression et d’exploitation humaine, la faim, la misère, l’air pollué, l’eau infectée et les terres détruites par le profit du capital ; toutes les mesures imposées, en 2020, sous prétexte de la pandémie, par l’État profond (qui dirige la vie sociale de toute la planète), détruisent la santé humaine à court et moyen terme. Ce qui détruit la vie et la santé humaines, c’est l’absence de caresses et d’amour corporel, la distanciation entre les humains, la panique créée et induite par les médias internationaux, l’isolement des vieux, des enfants, des sans-abri, des indigents, des "autres"... (les compartiments étanches des quartiers et des ghettos !), le blocage des bouches et des nez, qui nous empêche de respirer, de reconnaître (de voir !), la communication, les baisers... le cloisonnement et la ségrégation brutale entre les corps... sans bien sûr manquer de dénoncer l’enfermement dans les maisons de retraite, les foyers... Ce qui détruit beaucoup de vies d’un coup, mis sur le compte de la "pandémie", c’est la peur provoquée, l’enfermement imposé, l’isolement forcené, la dépression induite par l’isolement et la peur des autres.

La terreur systématiquement créée par le pouvoir de l’argent justifie, au nom de la santé, la fermeture de toute activité humaine, sauf, bien sûr, celle qui continue à produire de la plus-value pour cette même oligarchie. Localement, chaque gouvernement interdit la vie et la production nécessaire à la vie. Les secteurs de production alimentaire, les secteurs culturels et artistiques, les activités de plein air et de contact humain sont détruits...

En utilisant la panique construite par les médias et les gouvernements, les activités sociales et communautaires de base sont consciemment et volontairement tuées. Elle interdit et limite le contact, la rencontre, la promenade, la jouissance et le tourisme. Alors que des trillions et des trillions de monnaie et de crédits sont émis, afin de soumettre le monde entier à la dictature monétaire et d’extraire directement la plus-value bancaire (impôts, taxes, commissions...) de secteurs qui n’avaient jamais été bancarisés auparavant et qui conservaient encore des formes autonomes et/ou noires de satisfaction des besoins humains.

En réponse immédiate à l’attaque furieuse de la bourgeoisie... le prolétariat internationaliste a lancé ces slogans et perspectives de lutte :

+ CONTRE L’ENFERMEMENT ET SES MESURES COLLATÉRALES (enfermement, éloignement, muselières, obéissance à l’Etat...)

+ CONTRE LA BOURGEOISIE ET LES ETATS PARTOUT

+ CONTRE LA BANCOCRATIE ET SON GOUVERNEMENT MONDIAL

+ POUR UNE RÉVOLUTION SOCIALE MONDIALE

PROLÉTAIRES INTERNATIONALISTES [2]

Dans les notes suivantes de cette série, nous délimiterons au mieux les positions internationalistes du prolétariat, en nous démarquant pratiquement de la fausse critique du "capitalisme en général" qui, en réalité, devient complice du pouvoir de la ploutocratie mondiale et du Nouvel Ordre Mondial du Capital qu’elle impose.

[Au-delà de l’importance internationale et internationaliste incontestable de la lutte des Gilets Jaunes par le nombre et la quantité de lieux sur la planète où ils se sont renforcés (plus de 50 pays sur différents continents), il convient de noter ici l’importance programmatique de ce mouvement pour avoir explicitement généralisé la lutte contre le pouvoir des banques et de l’aristocratie financière construisant le " nouvel ordre mondial " basé sur la tyrannie absolue de l’argent (émission illimitée de monnaie fiduciaire) détruisant les activités et la production humaines. Voir à ce propos “Comunismo” numéro 69 (Groupe Communiste Internationaliste) qui, par ailleurs, expose comment l’augmentation du taux d’exploitation mondial (plus-value divisée par tout ce qui va dans les mains des dépossédés de la planète) et la production de valeurs mondiales (valeur brute de la production mondiale) peuvent augmenter, même si le monde continue à se désindustrialiser et même à provoquer délibérément une décroissance productive (vérité systématiquement occultée par la théorie bourgeoise de la valeur travail).

[2] Extrait de l’un de nos premiers matériels de centralisation internationale de l’année 2020 "CONTRE LE NOUVEL ORDRE MONDIAL QUE L’ARISTOCRATIE FINANCIÈRE VEUT IMPOSER AUX HOMMES" que nous avons diffusé en mars 2020. voir (ici)